Marc Fayet partage l'affiche avec de nombreux autres acteurs dont vous pouvez découvrir les prénoms ci-dessous. La filmographie d'marc que nous vous proposons est composée de 2 films et/ou séries.

Sur l'ensemble de ces films, voilà les prénoms des autres acteurs avec lesquels marc a joué, patrick, ludovic, julien, amaury, bernard, xavier, didier, jacques, martine, jeanne, amandine, emilie, thierry, urbain. Saurez-vous trouver de quels acteurs il s'agit ?

Les réponses dans la filmographie concernant Marc Fayet

Dans le premier film de notre séléction, Bienvenue parmi nous, Marc Fayet a tourné avec Patrick Chesnais et Ludovic Berthillot. Il a aussi partagé l'affiche avec Julien Barbier et Amaury Baudoin. Parmi les autres acteurs du film, on peut citer: Xavier Gallais , Didier Benureau , Jacques Develay , Martine Borg , Jeanne Lambert , Jacques Weber , Amandine Chauveau , Urbain Cancelier.

Voilà un bref résumé de ce film avec Marc Fayet:

En dépit de sa belle renommée artistique, Taillandier, la soixantaine passée, n'a plus envie de peindre. Déprimé, il part de chez lui, sans réel but et sans donner d'explication à ses proches. Au cours de son voyage, il fait l'étrange rencontre d'une adolescente perdue, Marylou, que sa mère a mise dehors. La gamine égarée et l'homme déprimé feront un bout de chemin ensemble. Finalement, vivant comme un père et sa fille, dans la tranquillité sécurisante d'une maison de location, ils s'aideront mutuellement et retrouveront un nouveau sens à leur vie.

Dans le second film retenu, Charlotte Corday, l'assassinat de Marat, Marc Fayet était à l'affiche avec Bernard Blancan et Emilie Dequenne. Il a aussi partagé l'affiche avec Thierry Gibault.

Synopsis du film:

Qu'avait été Marat sinon un improvisateur solitaire, "un cerveau brûlé, un fou arbitraire, ou bien sanguinaire, ou bien un scélérat soudoyé... comme ne cessaient de le crier, selon lui, les ennemis de la liberté, c'est-à-dire ses ennemis ?" La soif, jamais satisfaite, de châtiment et de sang versé, l'exaltation de la mise à mort qui inspirèrent dans les mois qui suivirent la mort de Marat, "la grande terreur", se passèrent aisément du prophète disparu. Ce que Charlotte Corday n'avais pas vu, n'avais pas su, c'est que, tuant Marat, elle ne faisait, obéissant à son devoir, que massacrer un symbole. Mais il nous faut regarder ce qu'elle a voulu, ce qu'elle a rêvé. Sa mission, son devoir ne pouvaient être de sauver la Révolution, ni même de mettre fin aux crimes qu'exaltait Marat. Ils étaient de punir "le monstre", de "venger la France" et les Français. Elle l'avait dit fièrement lors de son procès, répondant aux questions du président Montané : Le Président - Quels sont les motifs qui ont pu vous déterminer à une action aussi horrible ? L'accusée - Tous ses crimes. C'est lui qui entretient le feu de la guerre civile pour se faire nommer dictateur ou autre chose... Je sais qu'il pervertissait la France .Le président - Croyez-vous avoir tué tous les Marat ? L'accusée - Celui-ci est mort, les autres auront peur... peut être. Charlotte Corday savait qu'elle n'avait pas assassiné tous les Marat, et elle pouvait être assurée que les "autres Marat" auraient peur. Seulement elle pensait avoir accompli son devoir, comme un héros antique. Elle est Judith, et elle a tranché la tête d'Holopherne. Elle a levé sur César le poignard de Brutus. Devant le tribunal de Dieu, ou celui de l'histoire, ou celui de sa conscience, elle devait être la "meurtrière de la tyrannie". Elle ne devait penser ni à ses souffrances ni aux souffrances de ceux qu'elle avait pu aimer. Elle avait offert sa vie, sûre d'avoir bien servi l'humanité.

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